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 Aerdris Daedran [A vérifier]

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Aerdris Daedran
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Aerdris Daedran

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MessageSujet: Aerdris Daedran [A vérifier]   Aerdris Daedran [A vérifier] EmptyDim 13 Sep - 11:55




Aerdris Daedran [A vérifier] 1442153055-6dd4663e49cf43894d8e7ff689e4427b

INFOS GÉNÉRALES


Prénom : Aedris 
Nom : Daedran
Surnom : Serpent blanc
Age : 25 
Patrie d'origine : Ashenwall
Métier : membre de l’armée impériale 
Classe : soldat
Arme : Épée
Personnage de l'avatar : Ichimaru Gin de Bleach

 

DESCRIPTIONS


Description physique :

D’une taille respectable, du haut de ses 1m85, Aerdris n’est ni le plus imposant ni le plus effrayant des guerriers, pourtant il se dégage de cet homme une aura indescriptible qui ne laisse personne de marbre. Impression tenace d’une menace tangible, le soldat impressionne par son sang-froid  et sa caractéristique la plus déstabilisante, son sourire éternel.

Natif typique d’Ashenwall et ses hivers rigoureux, Aerdris n’en est pas moins étonnement pâle même au sein de son peuple, caractéristique qui le rend encore plus unique aux yeux de ses interlocuteurs, originalité qui laissa une empreinte tout particulièrement pendant son enfance.

Pourtant malgré toutes ces particularités suffisantes pour définir un homme, il en est une qui surpasse toutes les autres par sa rareté et son impact visuel, la couleur de ses cheveux. D’une couleur argentée tendant vers le bleu, ses cheveux ont longtemps défini la vie et les surnoms du soldat, le rendant particulièrement dur à ne pas remarquer ce qui le fit endurer bien des tourments.

Pour le reste, Aerdris possède le corps particulier des soldats de métier, avec ses 69kg, l’homme n’a guère de place pour la graisse inutile et possède un corps bien bâti, sec mais musclé. 

Au niveau de ses habitudes vestimentaires, Aerdris est quelqu’un de très simple, une habitude tirée de sa classe sociale paysanne bien qu’il ne soit resté dans la paysannerie que peu d’années. Rares sont les fois où l’on peut voir le soldat en dehors de son armure de soldat, mélange hétéroclite provenant de toutes les armures du monde connu, un rafistolage étrange à regarder mais renforçant l’impression d’homme n’ayant plus de patrie. S’il n’est pas en armure, Aerdris se présente dans une tunique large recouvrant tout son corps hormis le visage, dépourvue de couleurs vives, d’un simple blanc et noir.
 
Description du caractère (Libre) :

Aerdris est un individu complexe. Profondément fidèle à l’empire, le soldat n’en était pas moins extrêmement critique, rejetant la domination de la noblesse, farouchement défenseur d’une armée forte et représentant l’élite de la société. Aerdris n’éprouve aucune haine ni mépris envers les nations conquises, ne prônant aucune suprématie ethnique. Toutefois le guerrier pense qu’une seule culture devrait exister, une seule nation et une seule loi effaçant ainsi pour toujours les conflits et les révoltes. Briser les barrières pour ne former qu’un seul et unique peuple.

Depuis que l’empire n’est plus qu’un souvenir, Aerdris possède une haine inaltérable envers les dragons et ceux qui peuvent voir en eux un bienfait. Toutefois le soldat n’éprouve plus la moindre haine pour les anciens révolutionnaires qu'il a pourtant traqué pendant plusieurs années, cette lutte étant devenue vaine le jour de la destruction de l'empire. Mais pourtant rien de tout cela n’a anéanti la santé mentale du soldat qui ne rêve rien de moins que de voir le retour de la glorieuse nation qu’il a vu naitre et qu’il a aidé à grandir, tout en désirant la voir grandement évoluer.

Pourtant malgré ce rêve enfouit en lui, Aerdris doute et souffre de voir le pays en ruine et les factions se déchirer pour créer leurs propres nations, pathétiques reflet de l’histoire passé. Incapable de trouver un nouveau leader aussi charismatique et talentueux que l’ancien empereur, l’ancien soldat de métier parcourt les terres vendant ses services pour seigneurs et nobles ambitieux, tuant sans le moindre remord anciens frères ou innocents. Une vie qui pèse sur le guerrier.
 
La personnalité d’Aerdris est difficile à cerner, nul ne sait ce qu’il peut penser, et lui-même doute de pouvoir exprimer l’ampleur de ses désirs à ceux qui l’entoure. Pourtant malgré cette distance qui existe, le jeune homme est quelqu’un de sociable, dépourvu de préjugés Aerdris s’adapte à toutes les personnes, une chose qui est nettement moins réciproque. La plupart des gens voyant en Aerdris un individu fourbe et dangereux de par son sang-froid de tous les instants et son sourire éternel dégageant une impression de menace.
 
Aedris vit ce rejet plutôt bien, d’une part parce qu’il a toujours était solitaire, et d’autre part parce qu’il se connait et sait ce qu’il vaut. Extrêmement loyal, le jeune soldat n’en est pas moins critique et peut être très cynique avec ses interlocuteurs s’il voit qu’ils ne sont pas cohérents dans leurs actions. Au final le guerrier ne s’attache que peu aux autres oubliant les idiots et les incompétents dès qu’il ne les voit plus, Aerdris est à la recherche du prochain empereur, il n’a pas de temps à perdre avec les moins ambitieux.

 

HISTOIRE (LIBRE)


-24 : Une nuit de pleine lune, dans un hameau misérable, situé sur une terre isolée ne possédant même aucun nom, c’est ainsi que naquit Aerdris. Une naissance parfaitement normale à cette époque dans le royaume dur et froid d’Ashenwall, qui n’était que l’ombre du futur empire qu’il était destiné à devenir.

Le fils de paysans était si différent à sa naissance que ses parents le crurent malade, et décidèrent de l’abandonner à son sort afin de ne pas apporter le mauvais esprit au sein de leur famille, un destin qui aurait bien pu être fatal au nourrisson si une autre paysanne n’avait pas découvert le plan de ses voisins, la femme n’ayant jamais pu avoir d’enfants récupéra l’enfant dès que ses véritables parents eurent quitté la clairière qu’ils avaient choisi comme cimetière pour leur enfant maudit.

L’enfant survécu, et ne connut jamais la réalité entourant sa naissance, et s’en moquant, ce n’était de toute manière que le début de sa vie et de ses défis. Le reste ne fut qu’un récit des rejets que l’enfant différent subit, les adultes murmuraient sur son chemin, les autres enfants l’ignoraient, seul ses parents adoptifs lui montraient l’amour qu’il attendait, lui permettant de surmonter toutes les douleurs qu’il connut. C’est ainsi que l’histoire du jeune homme commença et continua, dans le rejet et l’acceptation, dans la dureté et la superstition.

-18 à -16 : Alors que le jeune et frêle garçon grandissait, et s’éloignait toujours plus des enfants de son âge pour devenir un paria, et alors même qu’il commençait seulement à apercevoir la douleur que sa différence apportait à ses parents, tout fut balayé en l’espace d’une seule année. Alors que la famine menaçait d’emporter une patrie non négligeable de la population, les Ashenvans devinrent durs, et égoïstes et ce furent les individus différents qui payèrent les premiers le manque de nourriture.

Les autres paysans de la lande se mirent à exiger de la part des parents d’Aerdris qu’ils leurs remettent une part de plus en plus importantes de leurs propres récoltes, conjugué  avec la dîme du seigneur local, la faim vint très vite frapper à la porte de la famille pourtant largement capable de subvenir à ses propres besoins. Mais encore une fois, l’enfant fut sauvé par l’amour d’une femme, sa mère, qui donna les maigres réserves qu’ils avaient pu garder à son fils, les parents dépérirent peu à peu jusqu’au décès de la mère.

Le père était bien moins courageux que sa femme et surtout beaucoup moins clément envers un enfant qu’il avait toujours considéré comme n’étant pas le sien, même s’il l’avait bien caché. Très vite l’homme cessa de se restreindre, et fit travailler l’enfant à son service, puis n’y tenant plus devant la pression des gens de la lande, l’abandonna en sacrifice aux dieux.

-15 : Seul et seulement âgé de neuf années, le jeune Aerdris n’avait aucune chance de survivre ne serait-ce qu’une seule nuit dans la lande glacée, pourtant le destin avait un sacré humour, et l’enfant abandonné tomba après une heure à pleurer sur le bord d’une route sur un important convoi militaire, si imposant qu’il balayant toute tristesse de l’esprit de l’enfant pour laisser place à une admiration sans bornes.

N’écoutant que son courage, et emplit d’une naïveté toute naturelle pour cet âge, Aerdris grimpa dans un chario sans que personne ne le repère, se camouflant sous une tonne de vêtements, volant au passage quelques provisions puis s’endormit bien rassasié. Ce n’est que tard le soir que l’enfant fut découvert totalement par hasard alors qu’un soldat venait discrètement voler dans la réserve. Incapable de décider quoi faire du morveux qui s’était infiltré dans le campement militaire, le soldat emmena l’enfant à son officier, un noble extrêmement superstitieux.

Voyant dans l’enfant pâle un présage, le noble persuadé qu’Aerdris portait bonheur fit installer l’enfant dans sa tente et l’attacha à son service. L’enfant fut emmené partout et présenter comme un porte-bonheur personnel qui assurerait au noble un avenir grandiose. Ainsi l’enfant devint un membre à part entière de l’unité militaire, bien que d’un poste qu’il vit chaque jour comme une torture, il n’était plus un humain mais un simple objet.

-12 : Adopté par l’armée, reconnu comme orphelin, à tort ou à raison, Aerdris connut enfin les plus belles années de sa vie alors qu’il atteignait sa douzième année. Devenu tambour de guerre, l’enfant dédia sa vie entière à l’armée. Lorsque l’empire déclara la guerre aux autres nations, Aerdris vécut ça comme un soulagement et suivit sans rechigner les armées en guerre, la fierté de donner le rythme aux troupes l’emplit et il vécut la guerre comme un glorieux moment.

C’est d’ailleurs pendant cette campagne que le noble superstitieux mourut, étrangement le seul jour ou Aerdris fut expédié ailleurs, d’un trait de flèche extraordinairement chanceux. Libéré du joug du noble fanatique, le jeune enfant accueillit la nouvelle avec une joie immense, mais qu’il camoufla du mieux qu’il put. Dès lors le jeune musicien devint la mascotte de l’unité militaire tout entière.

-8 : La guerre n’était qu’un lointain souvenir, deux années de paix se déroulaient sans troubles majeurs, hormis quelques unités rebelles se battant aux noms d’idéaux sans importances ou d’un nationalisme exacerbé, l’empire était le berceau de la culture et du savoir, sa puissance rayonnait à travers le continent et Aerdris voyait en lui le meilleur avenir qu’il puisse exister.

Toutefois en grandissant le jeune homme, devenu recrue dans l’armée pour gagner sa place de soldat, haïssait de plus en plus la noblesse, avec sa manière de traiter les hommes, de se sentir supérieur. Emplit des souvenirs de sa captivité par le noble superstitieux, Aerdris ne voyait en eux que mépris et décadence, à terme il espérait que l’empire se débarrasserait de cette classe corrompue et parasite. Seule l’armée pouvait se targuer de représenter le meilleur de ce que l’humanité portait en elle.

C’est aussi à cet âge-là qu’il redécouvrit le rejet et la haine de la différence. Les autres recrues provenant souvent de landes éparpillées et isolées, voyaient en lui un porteur de malheur, et une abomination. Son sourire devint sa meilleur arme, mais aussi ce qui lui attira le plus d’ennemis, mais le jeune homme avait connu bien pire il ne sombrerait pas à cause de quelques idiots.

-6 à 1 : Devenu pleinement soldat, Aerdris fut attaché à la garnison frontalière avec l’ancien royaume d’Ellès. Sur place il fut placé sous le commandement d’un officier particulièrement sévère et autoritaire, qui plaça l’ordre et l’obéissance comme le summum de la réussite. Très vite le noble s’attira la haine des elléens qui ne tardèrent pas à soutenir les troupes de guérillas qui attaquaient régulièrement les convois impériaux.

Fou de rage de voir son autorité remise en question, le noble décida de mener une purge sanglante dans plusieurs villages pour inspirer la crainte et le respect chez les habitants. Heureusement pour le village, Aerdris avait réussi à se lier d’amitié avec une jeune elléenne qui lui expliqua qui pouvait savoir ou se cachaient les rebelles.

Inquiet pour son amie, et bien qu’il eut juré de ne pas révéler ce qu’elle lui avait appris, Aerdris mis au courant son commandant. Satisfait de son subordonné, le noble promis de récompenser le soldat et de laisser le village en paix si Aerdris parvenait à faire parler l’homme qui connaissait les informations vitales. Décidé à sauver le village, le jeune homme fila l’homme qui n’était autre que le frère de son amante, un jeune homme si sûr de lui qu’il mena le soldat droit au campement des rebelles.

L’armée attaque peu après, balayant les forces rebelles en quelques heures, et ne laissant aucun survivant. Nul prisonnier ne survécut à la bataille, et le noble fier de l’histoire décréta unanime que tout ceci était son plan, chose qu’Aerdris s’empressa de valider. Pourtant le noble ne tint pas sa promesse et fit s’étendre sa vengeance aux villages alentours, exécutant tous les chefs de village et emprisonner comme otages nombres de jeunes garçons.

Le comble intervint lorsque le noble officier déclara à qui veut l’entendre qu’Aerdris était le « serpent blanc », manipulateur et menteur qui avait infiltré les rebelles sous ses ordres. Dès lors le soldat garda ce nom, qui brisa son amour, qui disparut du jour au lendemain sans donner de nouvelles, qui créa une barrière entre ses collègues et lui, alors même que l’entente n’était pas des plus profondes.

An 1 : Cela faisait deux années qu’Aerdris avait mené à la purge des forces rebelles de la frontière avec l’ancien territoire d’Ellès, deux années de solitude, entrecoupées de plusieurs combats contre d’autres forces révolutionnaires qui menaient régulièrement des embuscades contre les patrouilles impériales.

Agé de 25 ans, le soldat voyait sa carrière stagner, sa basse extraction l’empêchait de monter rapidement en grade, et il n’y avait de toute manière pas beaucoup d’espoir à avoir, il ne finirait jamais officier supérieur, au mieux sergent. Le noble avait succombé plusieurs mois auparavant à une attaque surprise alors qu’il inspectait les environs, une simple flèche, d’un ennemi invisible.

Heureusement tout allait changer, Aerdris avait aperçu un ordre pour son unité signalant leur déplacement vers la contrée de Ravey. Finit la forêt, finit le serpent blanc, une autre vie ouvait sa porte. C’est alors que le grand cataclysme arriva. D’abord des rumeurs, puis l’attente, les ordres ne tombaient plus, les nobles décadents ne réagirent pas, trop absorbés par l’art de se prélasser, finalement les réfugiés affluèrent, et derrière eux la plus terribles menace que le monde avait connu, le grand dragon.

Les colonnes de flammes furent le premier signal de son arrivée, les cris de douleur et de terreur le deuxième. Alors que la nuit commençait peu à peu à tomber, le dragon apparut, dans toute sa majestueuse puissance, il se dirigeait, symbole de fureur, vers Ellès, et sur son chemin se trouvait la garnison. Le dragon parut presque dédaigneux lorsqu’il balaya le fort, crachant un unique jet de flamme, qui purgea toute la forteresse, tuant des centaines de soldats d’un simple jet.

Aerdris survécut simplement par une chance miraculeuse, alors même qu’il était fasciné par cette force destructrice, restant figé sur le chemin de ronde comme attendant la mort, des hommes paniqués le poussèrent de leur chemin le faisant tomber de la palissade pour atterrir quelques mètres plus bas dans une rivière qui traversait la zone, plutôt large dans cette endroit, l’eau protégea l’homme alors même qu’il entendait le souffle de la mort, les cris d’agonie et les crissements de la roches succombant à un feu si fort que même le plus résistant des forts ne pouvait y résister.

Depuis ce jour, heureux, ou non, survivant des ravages du dragon, Aerdris déambule de territoires en territoires observant les royaumes naitre et se défaire, les hommes s’entretuer pour vivre un jour de plus. Vendant sa lame, l’homme n’est plus qu’un mercenaire, orphelin d’un empire auquel il a donné sa vie, incapable de concevoir son destin sans lui, se cherchant un dirigeant suffisamment fort pour devenir l’empereur qui doit être, celui qui ferait l’empire capable de dépasser son prédécesseur et capable d’adopter le soldat.

Aerdris s’est donné un nom, Daedran, a abandonné celui qu’il était autrefois, il n’attend plus qu’à faire partie de ce nouveau monde.



 

QUI ETES-VOUS DERRIÈRE L'ECRAN ?


Prénom : Axel 
Age : 22 ans
Sexe  : Homme
Passions : Jeux vidéo, Warhammer, animés, livres et quelques autres trucs vachement moins bien
Connaissez-vous Fire Emblem ? : Malheureusement non
Comment avez-vous connu le forum ? : Recommandation d’un ami
Un petit mot pour la route ? : Forum très agréable à parcourir, j’espère que je ne serais pas trop perdu par l’univers.


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An Hyi
Mage
Mage
An Hyi

Messages : 240
Expérience : 109

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Rang du personnage: D

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MessageSujet: Re: Aerdris Daedran [A vérifier]   Aerdris Daedran [A vérifier] EmptyDim 13 Sep - 22:22

Super histoire. Tu es validé.
Ta réputation sera de -2. T'es pas spécialement méchant mais les gens te connaissent un peu du fait de ta "trahison" et de ton surnom.
Tu peux dès maintenant commencer à RP et faire ta fiche.
Bon jeu sur EdH.
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