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 Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée]

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Itas Kreig

Itas Kreig

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MessageSujet: Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée]   Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée] EmptyMar 22 Sep - 14:00





Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée] 1442924217-644-3



INFOS GÉNÉRALES


Prénom : Itas
Nom : Kreig
Surnom : Le guerrier
Age : 32 ans
Patrie d'origine (s'il en a une) : Les Ellès
Métier : ? A voir
Classe : Soldat
Arme : Une épée
Personnage de l'avatar : Iskandar/Rider, Fate/Zero



DESCRIPTIONS


Description physique :


La première chose que l'on remarquait chez moi à l'époque de la reconstruction était ma musculature... Un torse en évidence, insuffisant pour effrayer les autres soldats, mais qui faisait fuir les vauriens traînant dans les rues. Je me souviens encore de l'entraînement subi chaque jour pour en arriver à ce résultat. Des heures et des heures à arborer un sourire constant, un rictus de fierté sans borgne qui symbolisait cette rage de me dépasser continuellement, et qui me suivit longtemps durant. Quelque soit la situation je souriais de manière et d'intensité différente, et simplement en y pensant je me mets à le refaire comme autrefois. D'ailleurs, fort heureusement que j'exprimais toujours la joie ! Qui donc autrement se serait approché d'un colosse, que dis-je, d'un monstre ! Deux mètres environ pour cent-dix kilos... Une belle prise pour se nourrir pendant des semaines au moins. Mais je n'étais pas un ours ! Mes cheveux roux voire rougeâtres rejoignaient certes ma barbe au-dessous de mon menton, cependant le reste de mon corps se couvrait de bien peu de poils grâce à un entretien quotidien. Que ce soit dans l'effort ou dans la présentation, je prenais soin de ce physique offert par les Dieux : l'éclat rubis de mes yeux était la preuve d'un tel don.




Description du caractère (Libre) :


Un sacré caractère ! Quoique celui-ci n'ait rien à voir avec les Dieux. Qu'on m'eut provoqué cent fois, j'aurai répondu d'autant ! Je ne refusais jamais une bataille à quelqu'un, toujours prêt à me battre, à partir à l'aventure, à prendre des risques inconsidérés, que ce soit dans mon plus jeune âge ou en vieillissant. La moindre parcelle de mon être vivait -et vit toujours- son existence avec une ferveur sans faille, à boire et à faire la fête comme il l'entendait. Je n'aurais pour rien au monde renoncer à ces moments ! Les beuveries avaient la même importance que le travail, elles étaient nécessaires à la bonne humeur qui vidait l'esprit de ses soucis. Le corps ne pouvait pas tenir un tel rythme ? Alors il fallait retourner l'entraîner. Toute ma vie s'est complétée dans un équilibre entre l'effort et le réconfort. Une vie agitée où j'ai aimé les choses simples décrites ci-dessus. Je ne cherchais pas à atteindre d'autres sommets que ceux de la gloire et des combats, à rêver de commander mes troupes sur un champ de bataille, n'ayant peur de personne. Je ne maîtrisais pas le langage comme nos souverains mais aucune de mes pensées n'est jamais restée au fond de mon esprit, était-ce une qualité ou un défaut pour devenir grand général ? Car voilà bien le rêve qui m'aura tenu si vieux ! L'avais-je réalisé ? Vous le saurez peut-être à la fin de ces récits...
 



HISTOIRE (LIBRE)


Mon passé avant cette fameuse journée... Une histoire à la fois simple et étrange si vous voulez mon avis. Comme une autre vie. Mais avant d'en arriver là, il faut commencer par le commencement, un fragment de mémoire qui me ramène très loin en arrière...

Je ne connais que peu de choses sur ma mère. Une femme attentionnée, très douce, au visage très souriant et toujours rempli de bonté. Mon père était un homme plus dur, très strict. Ils s'aimaient malgré leurs caractères opposés, et personne n'aurait pu les séparer... En revanche, un désir l'a fait. Alors que j’atteignais mes quatre ans, et que la petite boutique que mes parents tenaient se portait bien, l'un deux eut le pressentiment d'une urgence, celle d'accomplir une vieille volonté. Ma mère ne m'a pas raconté tous les détails de cela, sans doute les ignorait-elle aussi. Son âme sœur la quitta soudainement, épris de découverte, de voyage, sûrement à la recherche d'un vieux rêve. J'ai longtemps haï mon père pour ce geste puis, les décennies marquant les rides sur mon visage, je l'ai compris et pardonné... Mes rêves m'ont aussi emmené sur les routes loin d'où je devais être, allant vers là où je voulais être.

Mais son égoïsme signa la fin de ma période de paix. Dès lors qu'il abandonna le foyer les affaires commencèrent à décliner, les repas diminuèrent, la pauvreté s'installa. J'ai vu, et même ressenti, celle qui m'a élevé dépérir à vue d’œil. La vieillesse qui la guettait n'avait rien de comparable avec le chagrin frappant son cœur chaque soir dans le lit à moitié vide. Parfois elle pleurait si fort que mes larmes coulaient à l'écoute des siennes. La bâtisse en bois faisait résonner nos tristesses au travers de ses murs trop fins, et de cette maison trop grande. Puis elle décida de me sauver. De ses sentiments fous, de la vision de sa mort, d'un commerce à l'abandon, d'une vie dans les rues. Dès mes cinq ans, elle m'emmena dans les forêts d'Elles, proches de la frontière d'Ashenwall et de notre village. Ses connaissances hors normes lui permirent de m'apprendre la chasse, la confection des feux à l'aide des plus simples outils, et même les manières de creuser, autant pour s'abriter que pour cacher des réserves. J'étais content de passer des journées entières avec cette mère qui me chérissait comme son trésor. Et un an après le début de ses enseignements... Je ne la revis plus. Ce souvenir, je ne l'oubliai jamais plus. Ce soir tragique au milieu des arbres dans la quasi-obscurité, où ses lèvres vinrent se poser sur mon front. Il m'avait alors semblé que ses mains tremblaient. Ma naïveté m'avait empêché de bien comprendre ce fait. Elle m'avait dit qu'elle reviendrait me chercher, qu'il lui manquait simplement quelque chose... Ce ne fut pas le cas. Son sourire ne réapparut plus jamais devant moi. J'avais bien essayé de retourner chez nous. Ses pas nous avaient conduit si loin... Le temps que je retrouve la route, plusieurs jours peut-être, la maison avait été abandonnée. La vendeuse attentionnée de la boutique ne s'y trouvait plus. Et que ce soit sa volonté ou la mienne, les ruelles malfamées des villes n'étaient pas faites pour un petit garçon élevé dans la nature. Et la forêt ? Après tout, c'est là que j'avais tout appris. Oui... L'héritage de mes parents.

La nuit passée, je retournai sans attendre dans les bois d'Elles. J'y creusai une petite caverne grâce aux outils qui traînaient auparavant près de notre habitation. Pour manger, la chasse des petits animaux me fut d'abord suffisante. Les premières nuits n'eurent rien de facile. Entre l'absence de ma génitrice et vu les conditions quotidiennes, mon corps et mon esprit subirent de lourdes épreuves. Avait-elle pris une bonne décision ? Seuls les êtres supérieurs pourraient en témoigner. Mon adaptation à une telle vie dura plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Malgré tout, les cours que j'avais suivi m'aidèrent à survivre. Puis une première période écoulée, je décidai de faire plus. Mon corps se développa sous la pression imposée par l'environnement extérieur et ma propre personne, ma musculature commença à se développer. De temps à autre, des voyageurs traversaient la forêt. Au début, je me cachai. Mais avec l'âge, j’essayai de parler à ceux qui semblaient le moins agressif. Certains fuyaient et d'autres, sûrement plus étranges, s'arrêtaient. En pratiquant le langage chaque semaine mon vocabulaire ne se perdit pas aux tréfonds de ma mémoire; et est-ce peut-être d'ailleurs ce qui m'autorise à écrire ces lignes aujourd'hui. La moindre de mes facultés se réalisait ainsi jour après jour tandis que les années filèrent dans ces lieux. J'ai vu de nombreuses fois les feuilles tomber, les champignons pousser, puis les nouvelles graines grandir en arbrisseaux. Ce cycle devint mon quotidien, jusqu'à ce que la nation d'Ashenwall envahit mon pays...

Un événement qui ne passa pas inaperçu. Le monde entier réagit. A l'époque, je ne suivais pas ce genre de fresques historiques. J'avais seulement remarqué les innombrables soldats qui traversaient la frontière par la forêt où j'avais élu domicile. Cela s'était déroulé... une quinzaine d'années avant le grand cataclysme. Un bouleversement énorme. Une nuit, j'entendis les gens de mon village hurler dans la nuit, les feux crépitèrent à la lueur de la lune, les étoiles disparurent à cause de la lumière trop importante qu'ils émettaient. Plus qu'un désastre, ce fut pour moi un changement. La fin de dix ans paisibles. L'année de mes dix-sept ans, alors que j'étais devenu un grand et fort jeune homme, je décidai de prendre part à une rébellion. Un groupe ? Une faction ? Non. Je décidai de prendre part à ma rébellion. Des sabotages aux vols de marchandises des soldats qui voyageaient, beaucoup de méfaits devinrent mon œuvre. Cela représentait mes obligations envers les terres qui avaient accueilli mes parents. La forêt était mon domaine, je savais parfaitement m'y cacher. Une période sombre débutait avec cette invasion... Un temps de conflits à oublier. Ma nation avait plié sous la force, et retourner en ville m'était impossible. La civilisation, les habits de tailleur, ou les ornements ne faisaient plus partie de mon monde. Je devais tenir bon en attendant un miracle... Alors aiguisant mes sens et ma force toujours plus, et mon corps se renforçant, je commençai à m'attaquer aux groupes d'Ashenwall. Les premières cibles se matérialisaient sous la forme de soldats isolés, faibles, auxquels je pouvais facilement prendre des équipements et des vivres. La chasse devenait secondaire : les pillages se transformèrent en une source d'alimentation. Puis ayant atteint mes vingt ans je tentai de me frotter à un groupe plus robuste... La défaite fut amère. Je compris vite mon impuissance face aux personnes entraînées. La fuite se révéla ma seule option. Alors je fuis. Et la misère s'installa. Plus aucun petit guerrier ne passait par cette forêt. Seulement des groupes évalués et expérimentés. Parfois des recherches se faisaient à l'échelle locale. Dès qu'on vit que les sabotages s'arrêtèrent, les recherches s'arrêtèrent. J'étais condamné à vivre dans l'ombre pour toujours...

Mais le cataclysme se déchaîna. Un dragon, de chair et de sang, qui l'eut cru ?! Il dévasta le pays ! La forêt n'en réchappa pas. Je m'étais caché dans une grotte creusée au fond de la terre, à l'abri. La bête représentait-elle un miracle ou une catastrophe ? J'étais libre ! Libéré de ma condamnation à errer dans ces bois. Toutefois, quasiment rien n'avait surmonté cette incroyable attaque... Les armées d'Ashenwall non plus. Mon premier objectif allait être de renouer avec la civilisation. La fin du désastre marquait mon nouveau départ. Une naissance à trente-deux ans. Trente-deux usés dans la misère et l'errance. A ce stade, l'apparition d'un dragon symbolisait un espoir comme je n'en espérais plus. Je devais redorer mon blason, construire ma fierté. J'avais un corps et un mental.

Ma nouvelle sociabilisation se segmenta en plusieurs étapes au fil des premiers jours et des premières semaines après le cataclysme. J'avais réappris les bases fondamentales de la discussion, et les mœurs les plus basiques. Maintenant, mon but était de mettre à profit mes efforts pour me forger une personne. Je voulais servir en tant que soldat, exprimer la rage par le combat, mais rester bons avec les gens pacifiques. Suivre les traces d'une mère disparue. Et sourire dans une époque libre pour apporter la joie, ou pour faire un trait sur le jeune adulte martyrisée que j'avais été. Allais-je croiser la destinée d'un grand général ou celle d'un simple soldat ? Seule la suite de ces écrits vous en informera...


 



QUI ETES-VOUS DERRIÈRE L'ECRAN ?


Prénom : Antoine
Age : 20 ans
Sexe  : Loutre mâle
Passions : Jeux vidéos, Tennis de table, réfléchir, écriture.
Connaissez-vous Fire Emblem ? : Awakening sur 3DS
Comment avez-vous connu le forum ? :
Par des connaissances What a Face

Un petit mot pour la route ? :
Goudron. Et les couleurs du forum qui sont beaucoup trop vives silent

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An Hyi
Mage
Mage
An Hyi

Messages : 240
Expérience : 109

Feuille de personnage
Écus: 150
Réputation: 1
Rang du personnage: D

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MessageSujet: Re: Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée]   Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée] EmptyMar 22 Sep - 22:05

Présentation validée.
Tu commences ton aventure avec 0 de réputation. Tu peux dès maintenant commencer à RP et faire ta fiche personnage.
Bon jeu sur le forum.

PS : Anecdote débile, tu as l'avatar que j'avais imaginé pour Galdion.
Quand j'ai crée le perso, physiquement je voyais totalement Rider, ahahah.
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Itas à l'aube d'une nouvelle ère ! [Terminée]
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